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Publié le 16 Janvier 2018

Simulation d’une séance de Parlement européen avec 48 lycéens de Montreuil

Afin de valoriser l’Union européenne sur son territoire, Est Ensemble a accueilli le 11 janvier 2018 une simulation de Parlement européen pour des jeunes montreuillois.

Parlement européen des jeunes le 11 janvier 2018 à Est EnsembleLes lycéens en séance plénière dans la salle du Conseil territorial d'Est EnsembleParlement européen des jeunes le 11 janvier 2018 à Est Ensemble

Est Ensemble met en place sur son territoire des actions de sensibilisation à destination des jeunes, du grand public et des potentiels porteurs de projets européens pour faire connaître l'action locale de l'Union européenne.

Dans ce cadre, Est Ensemble a accueilli le 11 janvier 2018, une simulation du Parlement Européen en partenariat avec l'association européenne Parlement Européen des Jeunes, qui possède une antenne en Ile-de-France. Cette association propose des activités visant à promouvoir la citoyenneté européenne auprès des lycéens. Une de ses activités phares est la simulation d’une session du parlement européen avec des classes de lycéens. "L’objectif est de faire prendre conscience aux jeunes de leur citoyenneté européenne et de les inviter à s’engager", explique Adèle Sulvic, chargée de mission à l’association.

Ainsi, le temps d’une  journée , 48 élèves du lycée Condorcet à Montreuil, se sont réunis afin d’échanger sur des  thématiques diverses telles que : les fakes news,  le e-sport, les nouvelles  technologies, les smart-cities ainsi que le ciblage comportemental, autant de thématiques au centre des débats actuels.

Dans des réelles conditions de parlementaires, entre travail en commissions et séance plénière, les élèves se sont prêtés au jeu et ont réalisé la tâche qui leur était demandée : celle de mettre en place des  résolutions concrètes face aux problématiques des thématiques étudiées en commission. Ces résolutions étaient ensuite portées à la connaissance de l’ensemble des jeunes en séance plénière où leurs argumentaires étaient passés au crible des contre argumentaires des autres commissions. Pour Caroline Renson, professeur de lettres et d’histoire des élèves, le pari pédagogique est amplement remporté : « ce qui se passe aujourd’hui, c’est un peu ce qu’on essaie de créer chez eux en une année ».